Les pistes de danse productrices d'électricité continuent de se développer.

Sur le papier, l'idée est séduisante : équiper une piste de danse d'amortisseurs pour récupérer l'énergie produite par les danseurs et la transformer en électricité pour faire, par exemple, fonctionner les lumières du club.

Si les difficultés techniques sont nombreuses, le même système est testé sur des trottoirs -comme à Toulouse- dans les musées -comme le musée des sciences de Miami - , des halls d'entreprises, bref partout là où des gens marchent et piétinent.

Un des pionniers de la "piste durable", est Michel Smit, fondateur du "Sustainable dance club" ,aux Pays-Bas. Il explique sur cette vidéo comment les modules qui constituent la piste peuvent produire quelque 35 watts par heure quand ils sont comprimés de 10 mm.

Et si on dansait pour produire de l'électricité ?

Sur le papier, l'idée est séduisante : équiper une piste de danse d'amortisseurs pour récupérer l'énergie produite par les danseurs et la transformer en électricité pour faire, par exemple, fonctionner les lumières du club.

Si les difficultés techniques sont nombreuses, le même système est testé sur des trottoirs -comme à Toulouse- dans les musées -comme le musée des sciences de Miami - , des halls d'entreprises, bref partout là où des gens marchent et piétinent.

Un des pionniers de la "piste durable", est Michel Smit, fondateur du "Sustainable dance club" ,aux Pays-Bas. Il explique sur cette vidéo comment les modules qui constituent la piste peuvent produire quelque 35 watts par heure quand ils sont comprimés de 10 mm.




L'entreprise néerlandaise a étendu son concept et la ville de Toulouse s'est décidée à le tester sur un trottoir de l'esplanade François Mitterrand, pour alimenter un lampadaire.

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