Nouveau Capitalisme face une nouvelle ère du Social Business.

« Le Social business est mu par une « cause » plutôt que par le profit. Mais ce n’est pas de la charité : les actionnaires sont en droit de récupérer leur investissements et l’entreprise de social business doit au moins couvrir ses frais et même plus, cela, en restant concentrée sur la création de produits ou services qui apportent un mieux-être social pour les plus démunis. Dans la philanthropie, le dollar (ou l’euro NDLR) n’a qu’une vie, vous ne pouvez « donner » qu’une fois ».






Crise financiere et pauvrete : vers un nouveau capitalisme ?
envoyé par danonecommunities.

Avec le social business, le dollar investi n’a pas de fin de vie, il se recycle dans le circuit économique ; vous créez une entreprise dans laquelle vous mettez votre créativité, vos innovations et vous pérenniser votre action. Il y une place et un temps pour la philanthropie. Quand Katrina a frappé, vous ne répondez bien sûr pas au problème via le social business ; la réponse immédiate est la philanthropie, la charité, et vous sauvez des vies. Mais après une fois l’urgence passée, il est plus intéressant et efficace de créer une entreprise de social business. Cela dit, le social business ne peut pas être la « cup of tea » de tout le monde.

"Certains seront toujours motivés par la charité, d’autres par le profit" "Avec le social business j’ajoute une nouvelle possibilité d’action pour les gens."
Extrait d’un interview du Professeur Yunus avec la journaliste Emily Parker du Wall Street Journal (1er mars 2008). Rerouvez l’article complet ici (anglais)

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